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Tro Braz

14 septembre 2009

Tro Elsàss

Comme je l'avais indiqué dans mon dernier message voici quelques mois, mon projet de Tro Penn-Ar-Bed est toujours en stand-by, en attendant d'être suffisamment remis de mon accident pour le concrétiser.

Pour prolonger l'expérience, je voudrais vous proposer de participer à un nouveau blog, avec un nouveau projet, un Tro Elsàss, ou tour d'Alsace.

Je recopie ici le premier post de ce blog, qui présente le principe du projet.

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Un Tro Elsàss, c'est quoi?


"Tro", c'est le "tour" en Breton. Or, je suis Breton...

"Elsàss", c'est le terme Alsacien pour Alsace, tout simplement...

A l'autre bout de la France par rapport à chez moi, c'est une région qui m'interpelle, qui évoque pour le petit gars du bord de mer l'inconnu...

J'ai déjà réfléchi à un projet de Tro Penn-Ar-Bed, un Tour du Finistère à moto. Alors comme l'Alsace sonne comme une invitation à mes oreilles, je poursuis mon idée en attendant d'être suffisamment remis des blessures d'un accident de moto pour concrétiser ces deux projets, voire par la suite de réfléchir à d'autres itinéraires le cas échéant.

Si vous avez des idées, des commentaires, surtout n'ésitez pas. L'Alsace, c'est pour moi une terre inconnue, alors si vous avez des infos, je suis preneur.

En attendant, bonne lecture!"

Voici donc le lien vers ce blog, auquel je vous invite à participer. En attendant, je vous souhaite une très bonne route à tous!

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24 octobre 2008

Bon ben...

Pour 2009, c'est raté...

Les toubibs sont pas super optimistes en ce qui concerne ma jambe...

Je mets le projet en sommeil pour l'instant. Si ça peut se faire une autre fois ou à une autre période, je reviendrai poster dessus. Je laisse le blog en ligne pour le moment, pour que les visiteurs aient accès à toutes les infos.

Si vous concrétisez le projet, n'hésitez pas à me laisser des commentaires sur les posts qui vous ont été utiles...

Bonne route à tous, en attendant des jours meilleurs et peut-être l'occasion de rouler enfin avec vous, et merci à tous ceux qui ont participé à la vie de ce blog, par leurs commentaires ou leurs messages...

Pour illustrer mon empêchement, j'intègre les images de mon dernier scanner tibia et péroné, vous comprendrez mieux pourquoi je ne peux pas prendre le moindre risque et préfère remettre mon idée à plus tard...

19 octobre 2008

Visite d'un chantier

Petite idée qui m'a traversé l'esprit, visiter un chantier de construction naval spécialisé dans le travail du bois. Le support choisi serait le kayak de mer. Un chantier situé à Telgruc-sur-Mer, en Presqu'île de Crozon, est spécialisé dans la construction de ce type de bateau.

Je pense prendre contact avec lui pour lui demander s'il lui serait possible de nous recevoir et de nous expliquer son métier et sa façon de travailler.

Pour voir ses réalisations et trouver plus d'informations, je vous invite à aller faire un tour sur son site internet.

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il existe aussi deux chantiers à Camaret, mais qui ne semblent pas avoir de site internet. J'essaierai de trouver plus d'infos à leur sujet.

22 septembre 2008

Finish'terre Moto Club

Trouvé sur le net, une association brestoise, dont l"objectif est de promouvoir les activités à moto dans le département. Très actifs, ils sont notamment mobilisés sur un projet de création d'un circuit en Bretagne.

Rendez leur une petite visite ici pour voir leurs circuits de balade, photos et autres.

Vous pouvez aussi leur rendre visite sur le site internet créé par les associations mobilisées pour la création d'un circuit en Bretagne.

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15 août 2008

Brest Métropôle Océane

Une petite visite de l'office de tourisme de Brest Métropôle Océane, histoire de vous donner l'envie de poser les pieds dans les traces de Vauban, Kersauzon et de bien d'autres...

UNE VILLE CHARGEE D'HISTOIRE...
 

Brest est une ville au riche passé maritime. Sa situation géographique au fond d'une rade fermée par un étroit goulet en fait un emplacement stratégique exceptionnel qui séduit toujours les militaires. Les batailles se sont succédées dans ses eaux, une part de l'histoire navale de la France s'y est déroulée, retracée au musée de la Marine. Son château, achevé par Vauban, compte parmi les monuments majeurs de la Bretagne.   

La ville en elle-même, totalement détruite durant la seconde guerre mondiale, n'a pas conservé l'aspect d'une cité ancienne. Reconstruite selon un plan géométrique en damier, elle offre des artères bien droites qui s'ouvrent vers la mer.

L'expression "Tonnerre de Brest" popularisée par le capitaine Haddock, vient de ces coups de canon que l'on tirait matin et soir pour signaler l'ouverture et la fermeture du port. Ces détonations retentissent ainsi pendant près de trois siècles. D'autres coups de semonce, plus épisodiques, avertissent également de l'évasion d'un bagnard.

 
LA MEMOIRE DES SIECLES...
 


Au IIIe siècle, les Romains établissent déjà une place forte dont les fondations serviront à l'époque carolingienne à l'édification du château.
D'abord propriété des comtes du Léon, celui-ci est racheté en même temps que la ville de Brest en 1240 par le Duc de Bretagne, Jean Ier. En 1341, lorsque la guerre de Succession de Bretagne plonge Brest dans la tourmente, Jean de Montfort livre le château aux britanniques.
Ni Du Guesclin en 1373, ni Clisson en 1378, n'arrivent à le reprendre. Ce n'est qu'en 1397 que le duc de Bretagne récupère l'édifice tant convoité en le rachetant à Richard II d'Angleterre.

Au XVIe siècle, Brest connaît les assauts de la Ligue. Prenant parti pour Henri IV, les gouverneurs défendent activement la ville en 1594, repoussant les espagnols qui avaient bâti un fort à Camaret.

Le projet de Richelieu de faire de Brest le plus grand port de la Marine Royale se concrétise sous Louis XIV. Colbert y affecte quatre-vingts vaisseaux et plusieurs centaines de bateaux. Il crée l'Inscription Maritime, installe l'Ecole de canonnage et le Collège de gardes-marine, mais surtout fait construire l'Arsenal dès 1664. Vauban, chargé de fortifier le site, achève ses travaux vers 1689. Le dernier grand affrontement sur mer a lieu lors de l'attaque anglo-hollandaise contre Camaret en 1694. Leur défaite est magistrale.

Au milieu du XVIIIe, de nouvelles constructions viennent enrichir la ville. En 1752, c'est l'Académie Royale de Marine. En 1769, une promenade surplombant la rade est conçue par l'architecte d'Ajot. L'ingénieur Choquet de Lindu, entre en 1746 et 1784, agrandit l'arsenal. Il édifie en outre le bagne de Brest.

De Brest se font les départs des grandes expéditions maritimes : de Bougainville (1766), de Kerguelen (1773), La Pérouse (1785).

Les idées neuves de la Révolution séduisent Brest, cependant favorable aux Girondins, elle doit subir de multiples représailles sous la Terreur. Le Consulat puis l'Empire connaissent une période de stagnation jusqu'au début de l'industrialisation vers 1820. L'arsenal se modernise, des écoles spécialisées prennent place dans la ville.

Un pont est enfin établi entre Brest et Recouvrance en 1861. Le chemin de fer assure la liaison avec Paris à partir de 1865 et un port de commerce est construit hors de la Penfeld. La ville connaît alors une grande croissance économique et démographique.

Au début du XXe siècle, des difficultés importantes induisent une grande activité syndicale. Brest est alors appelée la "ville rouge". Lors de la première guerre mondiale, elle sert de port de débarquement à des milliers d'Américains. Cependant, la guerre 1939-1945 lui est fatale. Occupée par les Allemands (dès le 19 juin 1940) qui utilisent le port, la ville est abondamment bombardée par les alliés. A la Libération, il ne reste que des ruines. La reconstruction s'effectue, sous la conduite de Jean-Baptiste Mathon, pendant une dizaine d'années, Brest ne formant plus qu'une seule commune avec Lambézellec, Saint-Marc et Saint-Pierre Quilbignon, suivant l'ordonnance du 27 avril 1945.





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14 août 2008

Océanopolis

Etre aussi près de l'Océan et ne pas toucher du doigt à sa magnificence serait criminel... Alors pourquoi ne pas faire un détour par Océanopolis, l'un des plus grands aquariums d'Europe avec ses 3 pavillons (Polaire, Tropical et Tempéré) qui nous permettront de découvrir les écosystèmes océaniques, ainsi que l'impact de l'être humain sur ces équilibres précaires.

Une demi-journée de bonheur pour les yeux, qui pourra être couplée avec un tour de Brest (Tour Vauban, Musée de la Marine, voire si cela peut se faire une traversée guidée de l'arsenal...)

 

 

Le pavillon Polaire

Au Nord de toute terre, un océan ; au Sud de toutes mers, un continent : l'Arctique et l'Antarctique. Territoires de glace balayés par les vents, ils possèdent chacun néanmoins une vie propre très active au printemps.
Le pavillon polaire présente ces deux écosystèmes si différents et si proches, invitant ainsi le visiteur à observer la vie de ces territoires extrêmes au travers d'une manchotière illustrant les îles sub-antarctiques et un grand bassin présentant l'Arctique, où une dizaine de phoques évoluent sur la banquise.

 

Animations du circuit de visite

Repas des phoques...... 11h00 et 16h00
  Repas des manchots...... 10h30 et 15h30

   

Le Pavillon Polaire en résumé

1. La salle panoramique  (180 places)
2. La manchotière (la plus grande d’Europe) : 30 m de long, 250 m3
3. Le bassin des phoques : 1 000 m3
4. Les expositions : 1 000 m²
5. L’espace "Pour en savoir plus"

Au total 1 250 m3 d'aquariums, 1 170 m² d'espaces de visite.

Un spectacle panoramique ''ANTARCTICA''

Ce film grandiose de 12', tourné en Terre Adélie dans des conditions exceptionnelles, est présenté dans une salle muséographiée sur un écran panoramique de 20m x 3m. Il présente des images uniques sur la vie au fil des saisons, dans les glaces antarctiques.

La Manchotière

La manchotière accueille, dans un espace de 30 m de long et de 250 m3, 40 manchots de trois espèces nés en captivité et provenant de Suisse, d'Ecosse et des Etats-Unis. Cette manchotière, la plus grande d'Europe, représente fidèlement toute la beauté du paysage des îles sub-antarctiques.

Manchots royaux, manchots papous et gorfous sauteurs y évoluent sous l'eau, mais aussi sur la neige et au pied des falaises. Depuis mai 2000, quelques naissances ont ponctué leur vie quotidienne. Cette année encore, des naissances ont eu lieu avec l’arrivée exceptionnelle d’un manchot gorfou sauteur.

Le Bassin des phoques

Grands prédateurs vivant dans des conditions extrêmes, les phoques évoluent dans un bassin de 1 000 m3 où est reconstituée une véritable banquise. Visibles sous l'eau nageant autour d'un iceberg ou sur la glace, les phoques annelés et les phoques du Groenland retrouvent ici les conditions d'un éternel été avec une température extérieure de 4°C et une température de l'eau maintenue autour de 8°C.

Trois aquariums d’un volume total
  de 15 000 litres, accueillent :

•  des crabes géants,
•  diverses étoiles de mer et anémones de taille impressionnante,
•  et d’étranges poissons (loups Atlantique Nord).

SURFACES D'EXPOSITION

Autour de la manchotière et du bassin des phoques, 1 000 m² d’exposition font découvrir le fonctionnement de l’écosystème polaire, la diversité des espèces antarctiques, la vie dans les glaces…

Les espèces antarctiques

Face au bassin des manchots, une maquette grandeur nature d’un éléphant de mer, des oiseaux naturalisés, une fresque d’orque… témoignent de la variété des espèces antarctiques.

L’éléphant de mer (maquette grandeur nature)

Répartie sur les îles sub-antarctiques et sur la Terre de Feu, à la pointe de l’Amérique du sud, la population de ces pinnipèdes s'élève à 700 000 individus.

L’orque (fresque)

Ce cétacé, qui peut atteindre 9 mètres pour un poids de 8 tonnes, est un super prédateur se nourrissant d’otaries, de phoques et de manchots. Il peut également s’attaquer aux baleines qu’il chasse en meute de 20 à 30 individus.

Les albatros et les pétrels (oiseaux naturalisés)

Dans les régions polaires, les zones de nourrissage sont souvent très éloignées des aires de repos. Pour trouver leur nourriture, les oiseaux sont donc obligés de parcourir d’énormes distances. Certains, comme les albatros et les pétrels, ont développé des adaptations anatomiques remarquables.

L’ours blanc (naturalisé)

Les 20 000 ours blancs ne vivent que sur les pourtours de l'Arctique, la plupart du temps sur la mer gelée. Plutôt solitaire, le mâle pèse 800 kg et a environ deux fois la taille d’un tigre. L’ours blanc d’Océanopolis provient de la ville de Churchill dans la baie d'Hudson. Il a dû être abattu car il présentait un danger pour la population. Sa peau a repris forme grâce au talent du service de taxidermie et de conservation de la Grande Galerie de l'Evolution du Muséum National d'Histoire Naturelle de Paris.

Les écosystèmes polaires

Les écosystèmes polaires et toute la chaîne alimentaire évoluant sous la glace sont développés au travers d’un module d’exposition situé à proximité de l’aquarium à krill.

Les icebergs et la banquise

Près du bassin des phoques, une exposition présente les icebergs qui sont constitués d’eau douce et proviennent des calottes et des grands glaciers polaires. La banquise, quant à elle, est une couche de glace qui se forme à la surface de la mer (qui gèle en dessous de –1,8°C)."


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Le pavillon Tropical

Le Pavillon Tropical invite les visiteurs à un voyage merveilleux à travers les mers et les océans tropicaux. Liée aux images de vacances ou de paradis terrestre, la ceinture intertropicale est répartie de part et d'autre de l'Equateur, englobant toutes les eaux dont la température ne descend jamais au dessous de 20°C.

Avec 1 700 m3 d'aquariums, le Pavillon Tropical présente l'extrême diversité des organismes marins, depuis les requins jusqu'aux coraux vivants, en passant par de multiples espèces de poissons multicolores et d’invertébrés chatoyants.

 

     Animation du circuit de visite

   

Plongée nourrissage des poissons 15h00
  Bassin Océan Indien

         

    Le Pavillon Tropical en résumé

   

  1. L’aquarium des requins : 1 000 m3 d’eau, 17 m de diamètre
  2. La grande barrière de corail : 60 m3 d'eau et 13 m de long
  3. L’océan Indien : 300 m3
  4. La mer des Caraïbes : 180 m3
  5. La mangrove : 110 m3
  6. La forêt tropicale : 400 m²

   


  Au total : 1 700 m3 d’aquariums, 1 580 m2 d’expositions.

   

  Exposition : les requins

Autour du bassin aux requins, se situent des espaces d'exposition où le visiteur se renseignera sur ces animaux mythiques à l'aide de films, panneaux, fossiles, maquettes, fresques interactives, etc.

  La grande diversité des requins

Accueilli par une maquette d’un jeune requin baleine de trois mètres (l’adulte mesure une douzaine de mètres), le visiteur est tout de suite confronté à des informations qui « cassent » le mythe du Grand Requin mangeur d’hommes.
Le requin baleine est le plus gros des poissons de la planète et ne mange que du plancton en filtrant l’eau… Cela n’a rien à voir avec "les Dents de la mer" !

De plus, une fresque interactive montre le vaste groupe des requins dans toute sa diversité, taille, forme, couleur, mode de vie, et trois aquariums accueillent des requins aux formes étranges (requin-chabot bambou, requin tapis, requin dormeur) et leurs voisines les raies (raies guitares…) qui ne sont jamais que des requins « aplatis ».
On compte environ 400 espèces de requins aux formes, couleurs et comportements différents, répartis sur toute la planète. Présents dans toutes les mers du monde et à toutes les profondeurs, les requins sont particulièrement nombreux dans les eaux tropicales.

Le bassin des requins de 1 000 m3 et de 17 m de diamètre est habité de multiples espèces : pointe noire, taureau, aileron blanc du lagon, poisson scie, mais également des napoléons, des mérous, des bancs de carangues et de multiples autres poissons. Reconstituant une partie d'atoll de la Polynésie Française, ce bassin peut être vu de quatre points différents. Trois hublots permettent déjà un aperçu à l'entrée du pavillon. Une plate-forme de plongée vitrée, pouvant accueillir jusqu'à 40 personnes, descend lentement à l'intérieur d'une grotte qui s’entrouvre sur le lagon. Sa grande baie vitrée de 7 m de hauteur offre une vue sur les requins de fond. Plus loin (au niveau 0), un quart de tunnel donne une vision sur la pente externe du récif corallien et un petit forum s’ouvrant sur une immense baie vitrée offre une vue en perspective sur les méandres récifaux du lagon.

Les requins et leurs caractéristiques sensorielles et anatomiques

Des espaces d'exposition informent sur les extraordinaires capacités du requin et sa reproduction. Un modèle interactif décrit l'accuité des sens chez le requin, grâce auxquels il est parfaitement adapté à son rôle de super prédateur. Un espace avec une vidéo et un aquarium expliquent également sa reproduction. En effet, les requins peuvent être ovipares, ovovivipares ou vivipares. Des fossiles, d'une qualité exceptionnelle, sont installés le long du circuit de visite, dont une dent du gigantesque Mégalodon qui mesurait près de 15 m et vivait il y a plus de 20 millions d'années.

Homme ou requin : qui est le prédateur ?

Au niveau 0, à la sortie de la plate-forme de plongée, une exposition sur le thème du conflit homme / requin explique en quoi l'homme qui pêche le requin en grande quantité représente pour lui un danger et pourquoi certaines espèces de requins sont aujourd’hui menacées.

  La Polynésie française : les atolls, des îles nées de la lave et du corail

Entourant une partie de l'aquarium des requins, cet espace relate, à l'aide de maquettes, imagerie virtuelle et vidéos, la formation, la vie et la mort des atolls, et comment, par leur activité biologique, ceux-ci sont de véritables "oasis de vie" dans le "désert" des océans tropicaux.

  L’Archipel indo-australien : les coraux

Unique : un "mur" de coraux vivants

La biodiversité marine de la Nouvelle-Calédonie et de la Grande Barrière de Corail en Australie est illustrée par 60 espèces différentes de coraux vivants, durs et mous, couvrant la totalité du décor du grand aquarium de 13 m de long et d’un volume d’eau de 60 m3. La qualité de l’eau, d’une pureté irréprochable, la haute intensité lumineuse et la qualité du spectre permettent ainsi à ces coraux, dont certains sont issus de boutures, de proliférer en colonisant le décor. Pour ce faire, le bassin est éclairé par un système reproduisant les intensités du soleil et de la lune, mais également leurs cycles.

Dans l’aire d’exposition attenante, des terminaux multimédias expliquent les mécanismes de l’endosynthèse et le fonctionnement de l’écosystème récifal.
Une carotte de corail d'un mètre, couvrant une période d’un siècle, permet d’expliquer les variations des climats sur Terre depuis deux millions d’années. Mesurant 4 m à l’origine, cette carotte est issue d'un bloc de corail dont la croissance avait débuté vers 1600 sous Louis XIV.


  L’Océan Indien : adaptation des poissons aux récifs et l'action de l'homme sur les récifs

Un grand aquarium de 300 m3 et de 20 m dans sa plus grande longueur abrite la faune des récifs de l'Océan Indien : poissons papillons, poissons anges, poissons perroquets, poissons chauve-souris, demoiselles, chirurgiens, labres, etc.
En face, un aquarium cylindrique et plus loin quatre aquariums illustrent quelques adaptations développées par les poissons récifaux pour survivre dans un environnement où la compétition, pour l'espace ou pour la nourriture est perpétuelle. S'exhiber, se cacher, se faire passer pour un autre, se fondre dans le paysage, s'associer à d'autres, attaquer ou se défendre, etc… autant de solutions élaborées par l'évolution au fil des millénaires pour assurer la survie des espèces et leur diversité.

   

 


Vous verrez dans de petits bacs les demoiselles noires et blanches dont le contour de l'individu se fond dans le groupe ; l'association du poisson clown et de son anémone hôte : un intérêt partagé ; les rascasses et leurs redoutables rayons venimeux ; les "féroces" murènes émergeant d'une faille, se faisant nettoyer les dents par de graciles crevettes; etc.
Dans cet espace d'exposition est également présenté un ensemble d'informations sur l'impact des activités humaines sur le fragile milieu que sont les récifs coralliens.

  Les Caraïbes : endémisme et évolution des espèces

L’espace Caraïbes, avec son grand bassin de 180 m3 et ses deux petits aquariums, présente l'endémisme, phénomène qui caractérise les espèces (faune et flore) dont la lente évolution s'est déroulée dans un espace géographique restreint et délimité.

 

La Mangrove

Transition entre la mer et la terre, la mangrove, caractérisée par ses palétuviers, s’étend sur les vasières de la bande littorale où dominent ces formations végétales typiques des côtes marécageuses tropicales. Une multitude d'espèces animales vit au sein des racines de palétuviers. Dans un bassin de 100 m3, de magnifiques sélènes et des aiguillettes des Caraïbes évoluent entre les racines échasses des palétuviers dont les pousses ont été rapportées spécialement de Guadeloupe pour être élevées à Océanopolis.


  La Serre Tropicale

Cette serre de 400 m² reconstitue une forêt de type caraïbo-guyanaise avec, sur les troncs des arbres, des plantes épiphytes telles que des orchidées et des broméliacées. Différents types de fougères dont des fougères arborescentes viennent compléter cette reconstitution. Chacune de ces plantes a été prélevée avec l'aide de l'ONF de la Guadeloupe.Végétation exubérante, explosion de vie, cette serre tropicale abrite un aquarium d’eau douce de 10 m3 présentant une section de rivière amazonienne dans laquelle vivent des discus, des néons, des tétras…
Une zone d'information rétablit une fausse idée trop souvent véhiculée : la forêt amazonienne n'est pas le grand pourvoyeur d'oxygène de notre planète tant décrit, car une forêt tropicale primaire consomme autant d'oxygène qu'elle en produit. Ce sont les mers et océans qui fournissent plus de 50 % de l'oxygène de notre atmosphère. Par contre, s'il faut protéger la forêt amazonienne, c'est au titre de la biodiversité. Les forêts tropicales primaires à terre, comme les récifs coralliens en mer, sont de véritables réservoirs de biodiversité, dont certaines espèces sont encore à découvrir.

     

   


Ces milieux fragiles subissent de plein fouet l'impact des actions humaines et il convient aujourd'hui de les protéger, de les restaurer quand c'est encore possible et de les gérer durablement afin de ne pas détruire l'héritage des futures générations."

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Le pavillon tempéré

Le Pavillon Tempéré est consacré aux écosystèmes marins tempérés, à la mer en Bretagne ainsi qu'aux phénomènes océanographiques : marées, courants, vagues. Dans un décor de base sous-marine, le visiteur se promène sur les fonds marins en remontant progressivement du plateau continental jusqu'aux plages bretonnes.

 

Les animations du circuit de visite

Repas des phoques 10h00 et 15h00
  Plongée nourrissage des poissons 14h00

Animation au bassin tactile :

- Pendant les vacances scolaires : Toute la journée
  - Hors vacances scolaires : 11h00 – 14h30 – 15h45

Le Pavillon Tempéré en Résumé

1. Le bassin des phoques : 300 m3
  2. Le bassin des requins bretons : 120 m3
  3. L’aquarium des méduses : 10 m3
  4. La forêt de laminaires : 70 m3
  5. Le tombant rocheux : 7 mètres de hauteur, 120 m3
  6. Salle de cinéma : 250 places

   

Le plateau continental

A 200 m de profondeur, commence le plateau continental qui est en fait la partie submergée des continents. A cette profondeur, le manque de luminosité empêche le développement d'algues, mais on y trouve en revanche une foule de poissons et d'invertébrés tels que lieu jaune, grondin, sébaste chèvre, étoile de mer…

La grande vasière

Au sud de la Bretagne, à 100 m de profondeur, se trouve la grande vasière, royaume des langoustines qui y creusent leur terrier d'où elles ne ressortent qu'en début ou en fin de journée. Cet aquarium permet de voir la vie de ces crustacés au sein de leur galerie creusée dans les fonds marins.

La paroi rocheuse

Plus près des côtes, la paroi rocheuse offre une diversité et une richesse de vies animales fixées, telles que les anémones de mer, les gorgones, les éponges, les ascidies ou les bryozoaires.

La forêt des laminaires

Une première en Europe : la reproduction naturelle des laminaires.

Dans ce bassin de 70 m3, le grand public peut apprécier ce que seuls les plongeurs peuvent observer en Bretagne : le plus grand champ d'algues de France. Un éclairage naturel et une houle reconstituée avec l’eau de mer renouvelée (entre 10° et 16° C) permettent d'observer la reproduction et le développement en aquarium des laminaires. Ces grandes algues servent à de nombreux poissons pour se cacher, se protéger et se reproduire. Parmi eux, le chinchard, le mulet, les vieilles, les vieilles coquettes, les petites roussettes…

La chaîne alimentaire

Cet espace d'exposition évoque la chaîne alimentaire de la côte Atlantique. Les différents maillons de la chaîne, placés dans des aquariums, et une fresque interactive présentent les liens entre les différents producteurs et les niveaux de consommateurs.

La Colonne Océane

Grand aquarium cylindrique, la colonne Océane rappelle qu'à côté d'espèces liées au fond marin (benthique), d'autres espèces de poissons pélagiques se déplacent en bancs dans la masse d'eau.

Le Tombant Rocheux

Ce bassin, d'une profondeur de 7 m et de 120 m3, représente un tombant rocheux comme on en trouve à Ouessant ou à la Pointe du Raz et présente des espèces caractéristiques des côtes bretonnes comme : lieu, dorade, congre, grondin, bar, roussette…. Une fois par jour, les visiteurs peuvent suivre en direct les évolutions d'un plongeur grâce à une liaison audio-vidéo.

La mer d'Iroise / Le bassin aux requins

Les requins ne fréquentent pas que les eaux tropicales ! Les grandes roussettes, les raies, les émissoles sont des hôtes de nos côtes.

L'archipel de Molène / le bassin des phoques

A la pointe du Finistère, entre l'île de Sein et l'île d'Ouessant, se trouve la mer d'Iroise. Dans un bassin de 300 m3, avec une grande surface vitrée en oblique de 20 m², où sont recréés les vagues et les courants marins, se trouvent nos deux phoques veaux marins Nikko et Fite et leur petit évoluant parmi les algues et les invertébrés, caractéristiques de l’écosystème de l’archipel de Molène.

La femelle Nikko est née en 1993, elle est arrivée à Océanopolis le 16 juin 1995, et provient de l'aquarium d'Esbjerg au Danemark. Fite, le mâle, est né en 1995, est arrivé à Océanopolis le 09 janvier 1998 et provient de l’aquarium de Duisburg en Allemagne. Ils ont donné naissance le 14 juillet 2005 à une petite femelle nommée Nat, le 11 juillet 2006 à une deuxième femelle nommée Lilou et le 8 juillet 2007 à une troisième femelle nommée Sanna. Capables de rester en apnée pendant une vingtaine de minutes, ces mammifères atteignent des profondeurs de plus de 150 m.

A l'aise dans leur grand bassin, nos deux compères font le spectacle et profitent plusieurs fois par jour de la visite de leurs soigneurs qui les nourrissent devant les visiteurs sur la plage qui leur est réservée à l'extérieur du Pavillon.

La base scientifique sous-marine

Cet espace de 220 m² permet de s'informer sur le fonctionnement de la planète Terre. Les mouvements des océans, l'observation de la Terre par satellite et la géophysique y sont les trois grands thèmes développés. A l'aide de maquettes provenant de l'Exploratorium de San-Francisco et du C.M.O. (Centre Militaire Océanographique), de films et de systèmes multimédias interactifs, le visiteur a accès à de multiples informations : la formation des vagues, les courants, les marées, la force de Coriolis, la turbulence des océans…

L'estran

Rocheux ou sableux, l'estran est la zone couverte et découverte par la marée.

L'Herbier aux zostères

Sur les fonds plats et peu profonds de nos côtes, se trouvent de véritables prairies sous-marines composées de plantes à fleurs aux longues feuilles aplaties où se nichent des hippocampes, mais également des aiguilles ou des vipères de mer qui par mimétisme, ressemblent à ces herbes. A la saison des amours, les épinoches de mer les utilisent pour construire un nid abritant leur ponte. Sur le sable, des dragonnets et des gobies de sable ont eux aussi pris la même couleur que leur environnement.

La Nursery des poissons plats

Sur les grandes plages de sable, au printemps et en été, des petits poissons plats (soles, turbots, carrelets, etc.) viennent se nourrir et grossir, avant d'aller affronter des zones plus profondes.

La Flaque rocheuse

Lorsque la mer se retire, des animaux se réfugient au sein des flaques. C'est le cas des poissons de roches, comme les blennies, les gobies ou les chabots. Oasis pour les espèces qui craignent l'immersion, ces flaques sont aussi des milieux aux conditions extrêmes : chaudes et sursalées par grand soleil, dessalées par temps pluvieux, glaciales en hiver…

La Marée sur l'estran rocheux

Restituant le phénomène des marées, cet aquarium montre de quelle façon les algues ou les animaux (anémones, patelles…) se sont adaptés pour survivre à l'alternance immersion / émersion.

La rade de Brest

Siège des relations complexes entre l'homme et le milieu naturel, la rade de Brest abrite de nombreux animaux, chacun adapté à un fond particulier. Sur les fonds de graviers, on trouve des ophiures, des coquilles Saint-Jacques, et sur les fonds rocheux, les coraux mous, les gorgones, les oursins …

L'Aquarium des méduses : le cycle de l'Aurélie

Véritable hantise des nageurs, les méduses (ici des Aurelia aurita) sont pourtant de véritables ballerines, belles et méconnues. Présentes depuis plus de 600 millions d'années, elles appartiennent au même groupe que les anémones de mer et les coraux. Ce qui les différencie : elles flottent et nagent en pleine eau. Un aquarium cylindrique de 10 m3 et d'un diamètre de près de 2 m les présente, évoluant au rythme d'un léger courant qui les fait tourner délicatement. A côté, un aquarium montre le début de la vie des méduses.

Fixés au rocher, ces polypes minuscules sont comme de petites anémones blanches qui se multiplient, se divisent et donnent finalement naissance à des méduses qui grandiront en pleine mer. Les adultes engendreront une larve qui viendra de nouveau se fixer à un rocher et donner naissance à un polype.

La flaque de démonstration :

Conçue comme un laboratoire marin, la flaque de démonstration permet de toucher des organismes vivants tels que : étoiles de mer, oursins ou coquilles Saint-Jacques. Les animateurs présents toute la journée, à l'aide de caméras et de microscopes, font découvrir d'un peu plus près tout une faune et une flore marines.

Auditorium

Dans cette salle de cinéma de 250 places, sont projetés des films réalisés pour Océanopolis.
  Ils résument en images la beauté et le fonctionnement de nos écosystèmes.

Exposition : les mammifères marins :

Cette exposition présente, à l'aide de maquettes et de films, les différentes espèces de mammifères marins fréquentant nos côtes, mais également les recherches faites par le Laboratoire d'Etude des Mammifères Marins et les travaux de la clinique d'Océanopolis."

   
13 août 2008

Une journée à Quimper

Ville d'Arts et d'Histoire...

Petit détour sur le site de l'Office de Tourisme de Quimper, qui vous donnera toutes les infos pour découvrir cette ville. Une journée ave cpeu de route (1h ou 1h1/2 de route aller-retour), nous laisseront le temps de flâner dans les vieilles rues de Quimper, de découvrir les berges de l'Odet... Que du bonheur...

Extrait de la présentation de la ville sur le site de l'office du Tourisme:


Quimper, ville d'art et d'histoire

Située sur la rivière de l'Odet, au fond d'une ria d'une vingtaine de kilomètres, Quimper a toujours été un site abrité et un lieu de passage. Dès la conquête romaine, s'implante au bord de L'Odet, un peu en aval du site actuel de la ville, un petit centre urbanisé autour d'un port ouvert jusqu'au monde méditerranéen. Cette activité deviendra une des constantes de la ville jusqu'au milieu du vingtième siècle.

Un peu plus tard, les immigrants bretons privilégient un autre centre pour leur implantation, en amont au niveau du confluent (en breton : Kemper). Le choix de Quimper comme siège épiscopal favorise le développement de la ville déjà lieu de résidence du puissant Comte de Cornouaille. Dès le 13éme siècle, la construction de la cathédrale et la ceinture de remparts structurent la ville. Le chantier de la cathédrale Saint-Corentin s'étend sur plusieurs siècles pour en faire un des édifices majeurs de l'art gothique en Bretagne.

 

Au 16ème siècle, après le rattachement de la Bretagne à la France, l'arrivée d'une administration royale se traduit par la construction d'hôtels particuliers complétés au siècle suivant par de nombreux couvents liés à la Réforme catholique. La ville reste cependant une ville de marchands et d'armateurs qui construisent de sobres maisons en pans de bois ou en pierre.

Les 3 villes anciennes :

Le site primitif de Quimper

Le quartier de Locmaria, Eglise romane du XII ème siècle (un des plus vieux monuments romans du Finistère), ancien prieuré, jardin médiéval.

 

La ville de l'evêque

- L'ancien palais des évêques abritant le musée départemental breton.
- Les remparts de la ville : 40 % des 1.5 km d'origine.
- Les rues pavées du centre historique de la capitale des évêques de Cornouaille aux maisons à pans de bois, dont les noms rappellent si bien les anciens métiers : : Rue des boucheries, du Salé, Place Au Beurre, Rue Kéréon (Coordonniers)

 

La ville du duc

- Maisons pittoresques de la Place Terre au Duc, rue du Chapeau Rouge, de la rue Saint Mathieu, l'église Saint Mathieu (et ses vitraux remarquables), Venelle du poivre, et rue René Madec.

 

 

 

La Cathédrale Saint-Corentin, un joyau de l'Art Gothique Breton

C'est en 1239 que Raynaud décide de construire la cathédrale actuelle en s'appuyant sur les fondations d'une ancienne cathédrale romane.

A partir des années 1850, l'architecte quimpérois Joseph Bigot entreprend la restauration de l'édifice, principalement la mise en place d'un nouveau mobilier, du décor des chapelles et la commande de nouveaux vitraux détruits lors de la Révolution Française.

Sa réalisation la plus spectaculaire reste l'achèvement des deux tours avec la construction des flèches entre 1854 et 1856 financée par les quimpérois.

A partir de 1989, une campagne de restauration est mise en œuvre. Achevée en décembre 1999, sa restauration est une véritable révélation de l'aspect d'une cathédrale à la fin du XV° siècle : restitution des polychromies intérieures avec réapparition des nervures traitées en ocre jaune et ocre rouge et chaulage général des parements.

C'est une position opposée à celle du XIX° siècle qui avait imposé à la cathédrale une mise à nu austère assez éloignée de la volonté des premiers bâtisseurs.

 

3 août 2008

Ouvrage de référence

Je rajoute dans "Ce qu'il faut savoir, ce qui peut être utile", les références d'un ouvrage dont la lecture m'a beaucoup plu et que je conseille à tous ceux qui voudraient se lancer à la découverte du Finistère. Cet ouvrage, c'est celui dont je vous ai parlé dans l'un de mes précédents billets, et je viens de recevoir l'autorisation de l'auteur, via le biais de son éditeur, pour publier ses références ici. Je vous en livre également un extrait.

Il s'agit donc du "Carnet de Route - Finistère", de Lara Brutinot, publié aux éditions Sequoia.

Ne sachant quel extrait choisir, voici le texte qui illustre son contenu, en cinquième de couverture:

Carnet_de_Route_Finist_re_Sequoia"C'est un voyage au bout de la terre - là où la mer s'infiltre sans cesse, par toutes les brèches, au cœur des bourgs, des hameaux et des champs... La Finistère authentique, à la fois maritime, rural et religieux - grand ouvert sur l'Océan. Pour commencer, les douceurs picturales de la Cornouaille,. Puis les dunes et les pointes bigoudènes. Les eaux turquoises  de la Presqu'île de Crozon. Passé Brest, on s'embarque pour le pays des Abers. Rias et baies langoureuses, maisons accrochées au rebord des rochers... A Roscoff, le Léon devient alors Trégor, et ce sont des grèves bordées d'artichauts, de pommes de terre, avec, dans les terres, les enclos paroissiaux. La brume tombe sur les Monts d'Arrée... Voilà 6 routes à parcourir en voiture, tranquillement. Avec quelques escales, visites et balades, de culture ou de nature, des coins gourmands."


Alors voilà, si vous devez choisir un seul ouvrage pour vous donner envie de partir à la découverte de ce département, mon conseil est de choisir celui-là.


Pour chaque étape, vous trouverez un texte illustrant ce que vous pourrez y découvrir, un focus sur un point particulier, et des idées de visites ou de curiosités à voir (ou à ne pas manquer!) dans les environs. Des photos splendides, un style agréable à lire. Une façon de voyager à travers un écrit libre et aérien. Un régal...

29 juillet 2008

Bretagne Vu Du Ciel

Bretagne Vu Du Ciel
Vidéo envoyée par lebrestois029

Bon, pas sûr qu'on puisse en faire autant avec nos motos, mais elle est belle la côte Nord, non? ;-)

28 juillet 2008

Brest sous un autre visage

Brest est (trop?) souvent dépeinte comme un ville grise et triste, vestige des erreurs du passé, reconstruite après la deuxième guerre mondiale (avec quelques erreurs architecturales flagrantes, fruit de la collaboration des architectes américains, qui ont ainsi décidé par exemple que les rues du centre-ville desservant le port, totalement rasées par les bombardements alliés, seraient bien mieux si elles suivaient des lignes parallèles et perpendiculaires, sans tenir compte de la direction des vents dominants, qui s'y engouffrent depuis avec une violence rare, renforcés par l'effet Venturi, celui du "goulet d'étranglement"...)

Mais Brest, pour ceux qui y vivent, et pour ceux qui y sont nés et y sont restés attachés, c'est bien autre chose. Pour preuve cette planche de Gwendael Lemercier, dessinateur Breton qui a élu domicile à Brest depuis des années et a appris à la voir telle que les natifs la voient... Le scénario de cette planche est d'un autre Breton, Kris, également scénariste de "Un homme est mort" chez Futuropolis...

brest

Alors, envie de visiter Brest? A voir pour caler une découvert de Brest, peut-être "By Night" dans le programme...

En attendant, je vous invite à consulter le blog de l'artiste.

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